Montage d’opération

Notre parfaite connaissance du contexte urbain nous permet de pouvoir engager des opérations en maîtrisant les contraintes pour en exploiter au mieux le potentiel. Chaque projet est étudié dans une parfaite connaissance du contexte et sous les angles juridique, financier, technique et d’opportunité.

 

Réalisation d’études

Notre mission consiste en la réalisation d’études préalables (opportunité, faisabilité, technique, financière) et la formulation de recommandations nécessaires pour définir un projet ou approfondir un scénario envisagé. 

Ces études s’appuient sur la collecte et l’analyse de documents, des visites de site et/ou de bâtiments, la prise de contact avec les services et organismes concernés (particuliers, collectivités, architectes-urbanistes, bureaux d’études, concessionnaires…).

La décision d’exercer ou non le Droit de Préemption Urbain est prise après une visite du bien, quand son état ou son intérêt pour l’opération le justifie. La SIAB peut accompagner des porteurs de projet qui s’applique dans le cadre du suivi des transactions.

Les dispositifs coercitifs peuvent être mis en œuvre en cas de blocage avec principalement la mise en œuvre de Déclarations d’Utilité Publique Travaux (DUPT) à l’îlot ou à l’immeuble, la réalisation d’une « opération façades » comprenant des zones de ravalement obligatoire, et, si besoin, un dispositif de Résorption de l’Habitat Indigne (RHI).

 

Recherche de financements

Nous recherchons les financements possibles pour nos opérations et accompagnons le maître d’ouvrage dans la recherche de subvention.

A ce jour, sur les projets que nous avons menés, nous avons été en mesure de :

  • mobiliser des aides du conseil départemental sur l’espace public,
  • obtenir une enveloppe budgétaire par le Fonds d’Intervention pour les Services, l’Artisanat et le Commerce
  • participer aux côtés de la Ville au montage d’une convention « Centre-ville de demain » avec la CDC. Cette convention permettra notamment de financer des études sur le commerce et sur les professionnels de la santé.
  • monter des dossiers et mobiliser des subventions de la commission nationale de lutte contre l’habitat indigne via l’ANAH sur les dispositifs de traitement de l’habitat insalubre remédiable ou dangereux, et des opérations de restauration immobilière (THIRORI) / Résorption de l’habitat insalubre irrémédiable ou dangereux (RHI)